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Tracking Drive

6 octobre 2004

A venir.

Tracking drive était un peu en stand by ces derniers temps, lié à un planning des plus surchargé. Nous serons partenaire d'une grosse soirée gay friendly artistique qui se déroulera en Vendée, et c'est plutot une bonne nouvelle et beaucoup de boulot.

On vient vite au courant.

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25 septembre 2004

Le collectif PLEIX au CUBE...

EXPOSITION "PLEIX"
Illustrations, installations vidéo et musique électronique
DU 25 SEPTEMBRE 2004 AU 15 JANVIER 2005

Jean-Philippe Deslande (compositeur de musiques électroniques (sous le nom de Bleip) et monteur vidéo), Geneviève Gauckler (designer graphique et directrice artistique), Erwin Charrier (designer graphique 3D), Olivier Lipski (designer graphique), Michel Metenier (designer graphique 3D et directeur artistique), Eric Augier (designer d'effets spéciaux) et Laetitia Rouxel (project manager indépendante) se sont regroupés dans un collectif artistique, en 2001, très connu, sous le nom de Pleix.

 

 Leurs créations mélangent souvent 3D, 2D, illustration, typographie, musique et photographie. Dans leurs vidéos comme dans leur travail graphique, ils développent un univers futuriste basé le plus souvent sur la critique, la dénonciation ou la mise en avant d'un fait de société. En seulement 3 ans d'existence, Pleix a su imposer son style.

Le Cube et Pleix ont choisi de travailler autour d'une scénographie particulière qui permet au spectateur de découvrir ou de redécouvrir sous un jour nouveau différents travaux installés de façon inédite. Un espace «consommation» présente les vidéos Pride's Paranoïa et Itsu, un espace «Bleip» est dédié aux clips du groupe de musique électronique du même nom, un espace «identités» diffuse les vidéos Beauty kit, El Salvador et E-baby, deux "espaces singuliers" mettent en scène les vidéos Simone et Sometimes. Enfin, un espace « Pleix au travail » présente les coulisses de Pleix avec le dernier clip des Basement Jaxx et des surprises…

17 septembre 2004

Techno Parade 2004

Bon alors évidement, on le dira, ça fait du bruit, c'est le bébé de la Love Parade Berlinoise et la Gay Pride. Les chars sont plus beaux, mais il y a aussi beaucoup plus d'argent parce que plus de sponsor. Tout le monde y va de son petit rictus largement naturel où d'aider de substance illicite, que vous pourrez, j'en suis certaine, retrouver derrière chaque mec un peu bizarre qui ne danse pas, en veste de cuir...

La techno Parade existe, et pourquoi ne pas en profiter ? Une occasion supplémentaire de faire la fête en profitant d'un son unique à chaque char. Certes, il y aura du monde, se sera long, on aura soif, les pieds feront mal, on ne trouvera pas la force ni l'envie de sortir pour les soirées organisés dans les divers clubs de la capitale après le défilé, mais on se sera dépensé serainement, sans avoir fait son jogging quotidien au bois de vincennes, tout en profitant, bien évidement, des gazs d'échappements des 38 tonnes. Que demander de plus ?

Rendez vous samedi 25 septembre à 13h, à Montparnasse.

Petit rapport en image dès dimanche, le temps de dormir un peu.

http://www.technopol.com

13 septembre 2004

Les Pelouses Electroniques aux Buttes Chaumonts

 

La pluie a épargné notre virée aux Pelouses Electroniques ce dimanche 12 septembre au Buttes Chaumonts.

Aucun affichage n'était utile puisque nous étions guidé par le bruit des basses, qui nous conduisirent jusqu'au somment d'une petite colline sur laquelle se trouvait un grand kiosque. Buvette, boutique de T-Shirt et cabine du dj était regroupés sous celui-ci. Les arbres auraient protégé le dance floor d'une éventuelle pluie fine, et tout le monde semblait supplier les cieux pour qu'aucunes gouttes ne viennent perturber ce moment de détente incomparable, presque religieux.

 

Danseurs, buveurs et glandeurs trouvaient leurs comptes en ce lieu où le dj mettait le feu. Un peu triste de le voir caché derrière une bâche noire, mais l'important était l'émotion.

 

On a déplié la couverture après une bonne heure de danse improvisée entre peoples fashions, des filles faciles, 4 ou 5 goudoux hypes, 8 ou 9 mecs torchés, une fille très jolie, un type aux allures de dandy, une vendeuse la tête dans la lune, et le reste totalement endormis, un verre de houblon à la main.

Le vent s'est levé, on a quitté les lieux vers 18 heures, la tête oxygénée, sentant bien arriver, le début de l'automne.

 

   

   

   

  

pics : Juncutt

11 septembre 2004

Swayzak en show case

 

Fnac opéra vers 19 heures en ce vendredi 10 septembre. Assis sur les marches du sous sol du magasin, deux platines vinyles et une table de mixage disposées juste devant, lumière bien trop puissante pour un set même pour un show case en before. Peut-être bien trop habituée aux lumières sombres des boîtes de nuit.

Sur le site officiel des Swayzak, on peut y lire ça :

"NEWS

URGENT UPDATE
the swayzak show at batofar on friday 10th september is CANCELLED. its a long story that we really dont want to go into. But we hope to come and rock paris very soon."

Auraient-il annulé leur performance au Batofar pour aller se frotter à un public très promotionnel, pour vendre un peu plus de leur album « Loops From the bergerie » sortie depuis peu ?

 

Public très promo donc, mais aussi d'initier, puisque peu de monde était présent dans l'antre du meilleur son du moment qui pénétrait nos oreilles et coulait en nous, faisant bouger nos têtes et nos mains sur un même tempo.

 

David Brown nous a offert avec sourire et décontraction, (n'hésitant pas à nous prendre en photo, à répondre aux gens qui venaient lui poser des questions dans le creux de l'oreille), un set des plus enchanteur malgré le décor, malgré les clients, malgré les regards des passants assez surpris.

Une demie heure de rab sur l'horaire, où nous finîmes sous le charme.

 

Les shows cases FNAC opéra et Champs Elysées continuent toute la semaine prochaine.

 

  

  

  

pics: Juncutt

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11 septembre 2004

Sauvons d'urgence le patrimoine de l'Imprimerie nationale

L'État est en train de vendre divers bâtiments et secteurs du groupe Imprimerie nationale, société anonyme dont il est le seul actionnaire, sans vraiment proposer d'autre solution pour son patrimoine, partiellement classé « monument historique », que de le mettre en caisses. Le déménagement aura lieu au cours du premier semestre 2005, vers un lieu inconnu.

Unique au monde, cette collection d'une valeur inestimable est un témoin de l'histoire de l'écrit, du seizième siècle à nos jours. Elle comprend le Cabinet des poinçons et ses milliers de caractères occidentaux et orientaux, des ateliers en activité – fonderie, presses typographiques, lithographiques et taille-douce, brochure et reliure – une bibliothèque de plus de 30 000 ouvrages et les archives de l'imprimerie d'État. Créé en 1539, en même temps que le Collège de France, ce fonds est la mémoire d'un savoir-faire et un lieu de création qui disparaîtront faute de continuité.

Cet ensemble ne doit être divisé ni dans son contenu, ni dans ses fonctions : musée et conservation, création de caractères, édition, enseignement, recherche. Il doit être détaché de tout ministère de tutelle préoccupé de rentabilité économique. Ce patrimoine doit être accueilli à Paris par une institution, dotée de moyens conséquents, capable de l'enrichir et de le développer. Mieux, il peut faire l'objet d'une fondation – à but non lucratif et contrôlé – qui deviendrait un espace de conservation, mais aussi d'ouverture et de recherche. Il convient, parallèlement et dès maintenant, de prendre des dispositions pour que le transfert des matériels et des compétences se fasse au plus vite, de façon transitoire mais sans arrêt des activités de production, de conservation, de recherche et de formation.

Il y a de précieux objets à sauver, mais aussi des hommes, des métiers, un savoir qui seront perdus pour l'humanité entière. Nous exigeons que tout soit fait pour arrêter ce saccage. Ce sont les fondements mêmes de notre histoire et de la diffusion de la pensée dont nous refusons la destruction.

Graphê, association pour la promotion de l'art typographique

9 septembre 2004

Les Rendez-vous Electroniques du 8 au 19 sept. 2004

 

Petit rappel:

Les Rendez-vous Electroniques sont nés en 1998 de la synergie des acteurs de la culture électronique qui s'est développée en périphérie de la première Techno Parade française. En 8 ans d'existence, les Rendez-vous Electroniques se sont chaque fois plus enrichis et développés. Gratuits, ouverts à toutes et à tous, les Rendez vous Electroniques sont devenus l'un des grands moments forts de la culture électronique, un festival à visage humain, populaire, qui a pour but de donner au plus grand nombre les clefs de compréhension du monde électronique.

 

Dossier de Presse en main. Tellement de choses à voir, à faire, à écouter. Prendre le métro pour aller dans tel ou tel endroit, voir bidule mixer parce qu'on adore son style, regarder les photos d'Yvette Néliaz au Pavillon de l'arsenal, aller à la conférence sur les nouveaux modes de diffusion au Tryptique ; faire une formation sur « comment organiser une soirée » à l'IRMA ; se rendre au Petit Marché Electro très original les 16 et17-09, place Baudoyer pour trouver des disques, voir les nouveaux labels et découvrir les nouvelles collections ; écouter les Swayzak en show case le 10-09 à la FNAC opéra, se prélasser lors des Pelouses Electroniques au parc des Buttes Chaumont les 11 et 12-09….

 

Vouloir faire tout ça, sans vraiment pouvoir s'y rendre. Une impressionnante organisation qui laisse rêveur, mais qui fait peur, puisqu'à trop vouloir diversifier on fini par s'y perdre. Il devient plus facile de concevoir le planning plutôt que de s'y rendre réellement. C'est le genre de formidable festival qui nous fait rester à la maison avec un thé au jasmin en écoutant un bon vinyle de chez kompact, tellement on est découragé.

 

Raisonnons-nous devant tant d'activités, et profitons au moins de ce qui nous attire réellement. Les prochains articles sur Tracking Drive seront donc, allègrement, consacré au Rendez-vous Electroniques (En attenant d'obtenir un pass (je lance un appel !!) pour la Villette Numérique) et de finir en beauté le 18 septembre à la Techno Parade.  

Chaussez de bonnes baskets et hydratez vous, ça ne fait que commencer.

 

 

7 septembre 2004

La Fayette V.O.

Sous sol, Galerie Lafayette

19 rue chaussée d'antin

75009 PARIS

M° Chaussé d'antin

 

 

Le nouvel espace des Galeries Lafayette: V.O. pour Version Originale, d'une superficie de 4000 m2 vient d'ouvrir. Dans le cadres des Rendez-vous Electroniques organisés par Technopol, vous pouvez bénéficier d'un sound en direct, mixé par une ribanbelle de dj's venus spécialement pour animer la galerie, dans la petite caravane disposée à l'entrée. (Tout dépend d'où on arrive évidement)

 

Vieux canapés en cuir, sur lesquels on n'ose pas vraiment s'asseoir comme chez papi, mais les sèches cheveux des vieux salons de coiffures, installés en décoration, eux, auraient plus à mamie. Coin dj donc des plus agréable, mais lorsque l'on tourne un peu le dos et qu'on se faufile dans les allés, il y a comme un goût de déjà vu. Ce grand hall n'est autre qu'un immense Kiliwatch (friperie vintage hype de la rue Montorgueuil).

Dans une ambiance aseptisée, on y trouve plus de mannequins en plastiques que de clients vers 18h30, près à fermer me direz vous. Des centaines de marques s'acoquinent, mais on a tout de même du mal à les repérer aussi bien qu'à l'étage « créateurs ». Ici, du prêt-à-porter très très très fashion, des fringues dignes des « Sex In Dallas » poussés à son paroxysme. Des casquettes Van Dutsh, des Converses, des Jean'S large, des ceintures sur imprimées, des T-shirts jaune, rose, bleu fluo ou rouge griffés aux logos punk.

 

On aime forcément, on en veut, on s'approche et puis on recule soudainement. Le prix affiché fait sursauté, la musique camoufle nos cris de stupéfactions. Un simple T-shirt au logo sympathique, à manche courte, pour pas moins de 40 €. Alors on file plus loin dans les rayons, le son nous accompagne toujours, mais le design des rayons cultures (cd, livres, papeterie…) détonne du reste des installations. D'un classique ennuyeux, posé là presque par erreur.

 

On se promet de revenir, comme on va chez kiliwatch, chez Zara ou citadium. C'est un peu toujours comme ça à Paris, on se jure de ne plus y retourner et on y est toujours fourré ! Un lieu intéressant malgré tout, parce que très diversifié et dans la mouvance culturelle. Espérons que les sets de dj's ne seront pas programmés que pour lancer cet espace (on peut aussi l'appeler boutique) et que d'autre soirées, en nocturne, seront organisées.

 

Photos à l'arache >>

 

   

   

7 septembre 2004

ARTCORE05

Artcore est un plateau actif, ouvert et mobile de rencontres, qui explore la nature dynamique et provocatrice de l'art contemporain. Au gré des oeuvres d'art qui investissent le lieu et du mouvement circulaire dans lequel le regard déambule et se pose, l'espace se recompose et revit. La création visuelle, et le flot des rencontres redonnent à l'espace une nouvelle fonction "d'hôtel particulier".
Galerie ARTCORE (40 rue de Richelieu), située entre le Palais Royal et l'Opéra, dans un hôtel particulier du XVIIème chargé d'histoire renaît pour se transformer en plateau alternatif d'art contemporain depuis septembre 2003. La galerie artcore s'installe au premier étage, là où en 1673 Jean Baptiste Poquelin dit "Molière" s'est éteint.
Depuis hier lundi, ARTCORE 05, sera consacré à l'OPEN SOURCE. Y seront présentés quelques pratiques contemporaines liées au numérique. Bref un avant-goût du
parcours-numérique, dans le cadre de la villette-numérique.

6 septembre 2004

A Panam on a beau croire que c'est encore un peu

 

A Panam on a beau croire que c'est encore un peu l'été en voyant le soleil nous chauffer un peu trop, c'est bien la rentrée. Si si, c'est prouvé, par les embouteillages que je constate tous les jours sur le périphérique, les gens qui s'entassent dans le métro de très bonne heure, un livre à la main ou l'œil rivé sur « 20 minutes », que je ne prends jamais lorsqu'on me le tend et encore moins « Metro » dont le design laisse à désirer, et même sous prétexte que c'est un gratuit. Je n'aime pas la médiatisation forcée dès le matin avec juste un café dans le ventre, que je pourrai rendre à la vue de toutes les conneries qui se passent dans le monde.

 

Sur Tracking Drive pour débuter tout doucement cette semaine qui s'annonce chargée en évènement, (nb : Les Rendez-vous Electroniques aux Galeriex Lafayette et au Buttes Chaumonts pour les Pelouses électroniques, le vernissage photo de Marie-Pierre Trigla au Sofa mercredi à 18 heures, ainsi qu'un pique nique sur le pont des art en fin de semaine. ) j'ai ajouté quelques morceaux éclectiques sur la playliste Radio T.D.   

 

On attendant vos impressions, vos remarques (pas trop méchante s'il vous plait, on débute). Et si vous souhaitez devenir membre de T.D, c'est fort possible, en nous contactant par email. Suffit d'avoir un minimum de choses à dire et de savoir aligner trois mots. ;)

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